Esquissées en 2007, ces variations sur les chansons « La lune est morte » et « Les boîtes à musique », célèbres « tubes » des Frères Jacques, s’éloignent sensiblement des versions d’origine. J’en ai détourné le sens vers une critique de la société de consommation, où la mécanique humaine tue la Nature, ce qui est symbolisé par le premier pas sur la lune. Ce thème était déjà évoqué dans la chanson d’origine, mais comme une perte poétique et non comme un désastre écologique.

L’œuvre ne peut être publiée, car il y a une trop forte distorsion entre mon travail et les versions d’origine, que protègent jalousement les ayant-droits.